Notre livre « La Tour d’Ivoire » est de nouveau réimprimé. Il est en vente à la même rubrique « Contact et vente des livres » que celui de L’écologie de l’Être.
AVANT-PROPOS
Merci à tous les inspirateurs et inspirés pour ce travail,
Merci au lecteur qui y verra autre chose qu’un roman ou des élucubrations de sectaires,
Merci au Maître qui nous a permis de l’écrire,
Mais ici on ne remercie plus, on s’incline !
Que cette oeuvre (1) aille vers ceux qui sont dignes de la recevoir. Heureux, trois fois heureux, ceux qui en feront leur livre de chevet. Nous savons que c’est une oeuvre forte et qu’elle survivra malgré les imperfections de sa première édition. Ses ennemis, ses détracteurs la forgeront sur l’enclume des enfers.
Maintenant, grâce soit rendue à ceux qui l’ont aidée et qui l’aideront, qui la prendront pour appui. Ils auront droit de vie, car ils vivront par elle. C’est une source vive… ELLE A LE DON DE VIE !
4ème DE COUVERTURE
La Tour d’Ivoire n’est pas un livre ordinaire, et en aucun cas une œuvre partisane. C’est une esquisse philosophique et prophétique des lois universelles et créaturelles fixées à travers des allégories, des similitudes et des symboles. D’où parfois son apparente obscurité et la nécessité de la lire et de la méditer à de nombreuses reprises pour en dégager la lumière. La foi et l’amour peuvent seuls nous faire comprendre la vérité qui y est contenue. La prophétie y étant donnée microcosmiquement, c’est pourtant au niveau macrocosmique, donc universel, qu’il faut l’interpréter. Dans cette dimension, et seulement dans cette dimension, elle prend un sens relevé et une importance capitale. Ce n’est donc pas l’odyssée d’un individu mais celle d’un monde dont il est question.
PRÉFACE
L’histoire racontée dans « La Tour d’Ivoire » est authentique, textuelle et réelle. Seuls des noms de personnes et de lieux ont été changés et quelquefois adaptés, sauf en ce qui concerne Kerpenhir. Nous avons aussi omis volontairement certaines dates.
Le positif seul doit se dégager de cette œuvre, tout le reste n’est que mise en garde, avertissements, symbolisme. Le concret dans l’amour et la joie est seul créatif bien que nous restions fermes sur nos bases qui sont lois de vie éternelle. C’est un programme soumis à la bonne volonté de chacun :
– Recherche de la vérité par le spirituel.
– Tout accomplir avec foi et amour pour le céleste.
– Concrétisation des deux premiers dans la réalisation par le temporel. Le tout en accord d’harmonie dans les trois dimensions de l’être. Voilà la loi et les prophètes ! Que chacun s’y emploie selon les moyens qu’il a reçus.
Quelle que soit notre situation présente, nous pouvons toujours atteindre d’autres dimensions spirituelles, ce livre en est le vivant témoignage. Il faut seulement agir dans le bon sens.
Le transcripteur de cet ouvrage ne parle jamais de lui-même, spirituellement s’entend. Il a la triste mission d’annoncer des choses souvent pénibles au monde. Personne ne doit se sentir particulièrement visé ou fautif, même si nous contribuons tous au péché d’Adam. La prophétie vient d’en HAUT, les véritables prophètes parlent toujours en son nom; ils ne sont qu’ambassadeurs sur cette terre.
« La Tour d’Ivoire » est l’histoire et la vie du Petit Jean racontée par un témoin fidèle. D’ailleurs Jean a dicté lui-même la plus grande partie de l’histoire contée. Bien que la source semble puisée dans le judéo-christianisme comme le laisse entendre le premier chapitre, elle est épurée de tous dogmes et rituels, quels qu’ils soient. Elle met en lumière le brûlant problème de l’actualité car c’est une écologie idéaliste et rationnelle qui en appelle à une ère nouvelle. Elle est en marge de tout esprit de secte.
L’éthique morale donnée par le Petit Jean ne méprise aucune tradition, chacun ayant l’entière liberté de pratique. Elle apporte une solution aussi naturelle que possible et la réhabilitation de l’humanité. Cette dernière doit maintenant s’harmoniser avec les lois naturelles et universelles, et bien sûr agir en conséquence. Il n’y a dans tout cela ni optimisme ni pessimisme, ni tabou ni mysticisme, rien d’autre que des faits qu’il faut voir bien en face.
Écologistes, idéalistes, spiritualistes, matérialistes de bonne volonté, amoureux de la vie pure, saine et naturelle, il n’est que temps de vous réveiller, de vous unir pour le meilleur et pour le pire. Si chacun reste figé, prostré, cristallisé dans ses coutumes et traditions, nous perdons un temps précieux. Travaillons ensemble en pionniers pour un monde meilleur, digne de la création et de son auteur.
Le Petit Jean est venu pour appeler à l’unité. Quelle que soit votre confession, vos croyances, il ne vous demande pas de rompre avec quiconque mais d’agréer au plus vite le S.O.S. de la nature que nous avons ordre d’annoncer au monde.
Quel est donc cet ennemi, ce monstre géant ? Une seule phrase donnera la réponse : qu’est-ce qui tente et séduit la plupart des humains ? Certaines découvertes et applications révolutionnaires distillées par l’esprit de perversité qui conduit à la mort alors qu’il faut opter pour la vie, l’amour universel, chacun selon sa foi dans et par son travail.
Comment ce S.O.S. ne s’adresserait-il qu’à la France alors que le monde entier court à sa perte ? Un pays seul, même de bonne volonté, ne saurait ramener l’équilibre dans le monde si le reste de la planète n’y contribue pas. Il n’y a pas de miracle ici. Le verbe de la nature s’est manifesté à Kerpenhir où il a laissé son testament que suivront toutes les bonnes volontés.
Mais n’est-il pas dit que nul n’est prophète en son pays ? Dommage que les privilégiés n’aient pas su en profiter ! Notre âme est triste car, sans être chauvin, nous aurions aimé lui donner sa bonne part. Le juif-errant d’hier n’est plus celui de demain. Le lecteur se souviendra d’Ombredanne (voir chapitre six, la légende d’Ombredanne). Locmariaquer, avertie en son temps, a dédaigneusement détourné la tête et seule une vieille bretonne est restée grande et digne. Alors nous voulons croire à la Bretagne car elle réhabilitera à elle seule la France.
Le Petit Jean est parti dans l’ombre comme il était venu car il avait accompli sa mission secrète. Dans le monde, l’œuvre ne pouvait naître qu’après son départ. Il nous a toutefois laissé ses bagages et son enseignement ainsi que les clés en sorte que notre action ne soit pas un babillement vain et inutile mais une démarche constante et soutenue. Car, en ce bas monde, toute parole qui n’est pas traduite par des actes est mensonge. C’est à l’œuvre que l’on reconnaît la valeur de l’artiste. En ce qui nous concerne, nous ne sommes que le scribe malhabile, mais des jeunes nous rejoignent et prendront bientôt la relève.
Photo : Promontoire de la Pointe de Kerpenhir, presqu'île située sur la commune de Locmariaquer (Morbihan) qui, avec le phare de Port-Navalo, marque l'entrée du golfe du Morbihan. La statue devant le promontoire évoque la légende de Notre-Dame de Kerdro (« bon retour » en breton) : la Vierge serait apparue à cet endroit à un bateau de pêche franchissant l'embouchure du golfe, lui faisant signe de faire demi-tour. Rentré au port, l'équipage aurait ainsi échappé à une forte tempête qui aurait coulé d'autres navires.